Exceller en physique-chimie, maths - Professeure particulière expérimentée. Méthode personnalisée et progression garantie. Suivi individualisé !

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• Depuis quand développez­-vous un intérêt pour votre discipline et pour les cours particuliers ?

  Mon intérêt pour les mathématiques et les sciences est né très tôt. J’ai toujours été attiré par les problèmes complexes et les structures logiques, mais c’est surtout lorsque j’ai commencé à aider mes camarades de classe que j’ai compris la puissance de la transmission du savoir.
  Ce goût pour les cours particuliers s’est renforcé au fil de mes études et de mes premières expériences d’enseignement : j’ai réalisé à quel point un accompagnement individualisé pouvait faire la différence. Chaque élève est un univers à part entière, et j’ai trouvé un réel sens à adapter mes outils pédagogiques à chaque situation.

• Dites nous-en davantage sur la matière enseignée, sur les thèmes que vous appréciez aborder avec les élèves (et éventuellement ceux qui vous plaisent un peu moins) !

  J’enseigne principalement les mathématiques, la physique et parfois la chimie. Ce que je préfère dans ces matières, c’est leur structure logique : tout s’emboîte si on prend le temps d’expliquer.
  J’aime particulièrement travailler sur les fonctions, les vecteurs, la mécanique ou les probabilités. Ce sont des domaines où les élèves, une fois la barrière de la peur franchie, prennent confiance très rapidement.
  Ce que j’apprécie un peu moins, ce sont les exercices trop mécaniques, sans réflexion, qui n’aident pas à développer l’autonomie. Mon but est que l’élève comprenne pourquoi il fait ce qu’il fait, et pas simplement comment appliquer une formule.

• Parlez-nous de vos modèles, que ce soit un professeur qui vous a marqué ou encore une oeuvre qui vous a inspiré !

  Je me souviens d’un professeur de physique en maturité. Il était exigeant, parfois dur, mais toujours juste. Ce qui m’a marqué, c’est qu’il ne répondait jamais directement à une question : il nous renvoyait à nous-mêmes, à ce que l’on savait déjà. Ça forçait à réfléchir, à structurer notre pensée.
  Il m’a appris que l’enseignement, ce n’est pas “verser” du savoir dans un cerveau vide : c’est éveiller une curiosité, un raisonnement. Cette méthode m’inspire encore aujourd’hui. Elle me pousse à faire confiance à l’élève, même quand lui ne croit pas encore en ses capacités.

• Quelles sont, selon vous, les qualités requises pour être un bon expert dans votre domaine ?

  Il faut d’abord une maîtrise solide des contenus, bien sûr, mais cela ne suffit pas. Ce qui fait la différence, c’est la capacité à écouter, à reformuler, à vulgariser sans dénaturer.
  L’expert doit être à la fois pédagogue, stratège, et psychologue. Il faut sentir quand l’élève décroche, savoir quand insister ou au contraire lâcher prise. Il faut surtout faire preuve de constance : l’élève a besoin d’un repère fiable, d’un cadre sécurisant.
  Et enfin, il faut rester humble. Un bon prof ne se contente pas d’expliquer, il apprend en permanence des élèves.

• Une anecdote en rapport avec votre métier ou votre scolarité à nous raconter ?

  Un élève m'avait été recommandé car il souhaite changer d’orientation, mais ses notes ne le lui permettaient pas. Il était convaincu d’être “nul” en maths. Les premières séances ont été laborieuses : il doutait de tout, se dévalorisait sans cesse. Plutôt que de foncer dans le programme, j’ai pris le temps de reconstruire les bases, et surtout de valoriser ses raisonnements, même lorsqu’ils étaient faux.
  Trois mois plus tard, il passait de 3.8 à 5.2 de moyenne. Ce qui m’a le plus touché, c’est qu’il m’a dit : “Ce n’est pas juste que je comprends, c’est que maintenant j’ai envie de comprendre.”
  Il a été admis dans sa filière souhaitée, et cet épisode m’a rappelé que l’envie précède la réussite.

• Vous pouvez maintenant nous rassurer et nous avouer que vous aussi, vous avez déjà connu des difficultés à l’école…

  Oh oui, notamment quand j’ai rencontré pour la première fois les démonstrations en mathématiques. Je trouvais cela très abstrait, presque inutile. Je m’en tenais aux calculs, sans m’intéresser aux fondements.
  Un jour, un professeur m’a fait travailler sur une démonstration en lien avec un problème concret de pont suspendu, et tout a changé. J’ai compris que derrière chaque formule, il y avait une logique, une structure élégante. Depuis, je m’efforce de montrer cette beauté cachée à mes élèves, surtout ceux qui pensent que “les maths, c’est pas pour moi”.

• Aidez-nous à vous connaître un peu mieux en évoquant vos passions (que vous partagerez peut-être un jour via Superprof).

  Je suis passionné de photographie et de randonnée. J’aime particulièrement capturer les paysages des Alpes suisses : lumière, symétrie, profondeur… Il y a une forme de mathématique esthétique dans la nature, et ça me fascine.

• Qu’est-ce qui fait de vous un Superprof (en plus d’avoir répondu à cette interview :-P) ?

  Ce sont mes élèves qui le disent le mieux : “tu es le premier prof à m’avoir expliqué pour que je comprenne moi”.
  Je m’investis à fond dans chaque suivi, et je m’adapte vraiment au profil de chacun. Certains ont besoin de structure, d’autres d’encouragements, d’autres encore d’exercices stimulants.
  J’apporte une méthode, une présence constante, et des résultats concrets : en moyenne, mes élèves gagnent entre +2 et +4 points en moins de deux mois.
  Mais au-delà des notes, ce que j’apporte, c’est un changement d’attitude : mes élèves deviennent acteurs de leur réussite. Et c’est ça, être un Superprof.